Une exression qui s'est créée par analogie avec celle de littérature d'enfance. Elle montre que la catégorie s'est élargie à l'idée d'un public jeune, voire adolescent et que l'on ne réserve plus cette littérature uniquement aux petits enfants.
Cette expression désigne une production spécifique. Un vaste domaine éditorial qui recouvre de nombreux genres littéraires différents, de nombreux types de texes, et qui se constitue comme champ littéraire à part entière (1) ; ce qui finit par le définir comme s'adressant à tout le public non-adulte. De sa première définition, liée à l'existence d'une tranche d'age de 12 à 18 ans, on passe à l'idée d'un genre littéraire spécifique, pour arriver à la dimension universelle d'une catégorie d'age (l'enfance et la jeunesse) par opposition à celle des adultes, mais aussi à des considérations relevant de son usage didactique ou ludique.
Un facteur complète en effet cette approche : l'idée d'une superposition des aspects sociologiques et didactiques à la notion de classe d'age.
(1) Nières-Chevrel, Isabelle, Avant-propos: Lisières et chemins de traverses, Actes de colloque de Cerisy-la-salle, "Littérature de jeunesse, incertaines frontières", Gallimard Jeunesse, 2005
Il était une feuille avec ses lignes, lignes de vie, lignes de chance, lignes de coeur.
mercredi 12 août 2009
mardi 11 août 2009
"Kiffe kiffe demain" de Faiza Guène 2
Le terme kiffe kiffe implique un jeu de mot sonore dans la dichotomie kiffe/kif- kif : Kiffe issu du verbe kiffer, un terme du parlé des jeunes, qui signifie apprécier, aimer, prendre du plaisir à…
Quand à kif-kif, c'est un emprunt du dialecte arabe, qui signifie pareil.
Doria apprécie plus sa psychologue que son assistante sociale. La psychologue a su l’ouvrir à une aide extérieure, et la route a donc tourné pou elle.
« C'est ce que je disais tout le temps quand j'allais pas bien et que maman et moi on se retrouvait toutes seules : kifkif demain…je l'écrirais différemment. Ça serait kiffe kiffe demain, du verbe kiffer » p188
La plupart des noms sont chargés de connotations dues, soit à leur racine arabe, soit à l'imagination de l'écrivaine. Nous citerons à titre d’exemples :
Doria : à la fois narratrice et personnage principal.
L’écrivaine a choisi pour sa narratrice un nom chargé de connotations. "Doria" est un nom arabe, qui désigne "la progéniture". Le choix est très significatif voire pertinent car la recherche d'une progéniture était la raison principale du départ du père. L’absence de ce dernier avait marqué l'héroïne pendant toute la progression romanesque. On lit à la page 170 : « Mais si j'étais un garçon, ce serait peut-être différent...Ce serait même sûrement différent (...) Ouais tout se serait bien passé si j'étais un mec. ».
Mme Burlaud : la psychologue. Le terme Burlaud se prête à deux interprétations :
D’abord, il désigne le caractère d'une chose extravagante et ridicule. On lit à la page 09 : « Mme Burlaud, elle est vieille, elle est moche et elle sent le Para poux. Elle est inoffensive mais quelques fois, elle m'inquiète vraiment ».
Ou bien, le terme serait découpé en Bur (bure), qui signifie la laine rêche. Et laud (l'eau) ; ce qui donne le sens d'une laine mouillée qui expliquerait la qualification donnée par l'auteur : « elle sent le Para poux »
Yasmina : la mère de Doria. Son nom désigne en arabe "la fleur du jasmin". Symbole de la beauté et de l’espoir. Yasmina est une femme courageuse qui a affronté son illettrisme. On lit à la page 116 : « Elle commence à lire quelques mots et elle est très fière d'écrire son prénom sans se tromper (...) Elle est active et libre maintenant alors qu'avant c'était loin d'être le cas. ».
Quand à kif-kif, c'est un emprunt du dialecte arabe, qui signifie pareil.
Doria apprécie plus sa psychologue que son assistante sociale. La psychologue a su l’ouvrir à une aide extérieure, et la route a donc tourné pou elle.
« C'est ce que je disais tout le temps quand j'allais pas bien et que maman et moi on se retrouvait toutes seules : kifkif demain…je l'écrirais différemment. Ça serait kiffe kiffe demain, du verbe kiffer » p188
La plupart des noms sont chargés de connotations dues, soit à leur racine arabe, soit à l'imagination de l'écrivaine. Nous citerons à titre d’exemples :
Doria : à la fois narratrice et personnage principal.
L’écrivaine a choisi pour sa narratrice un nom chargé de connotations. "Doria" est un nom arabe, qui désigne "la progéniture". Le choix est très significatif voire pertinent car la recherche d'une progéniture était la raison principale du départ du père. L’absence de ce dernier avait marqué l'héroïne pendant toute la progression romanesque. On lit à la page 170 : « Mais si j'étais un garçon, ce serait peut-être différent...Ce serait même sûrement différent (...) Ouais tout se serait bien passé si j'étais un mec. ».
Mme Burlaud : la psychologue. Le terme Burlaud se prête à deux interprétations :
D’abord, il désigne le caractère d'une chose extravagante et ridicule. On lit à la page 09 : « Mme Burlaud, elle est vieille, elle est moche et elle sent le Para poux. Elle est inoffensive mais quelques fois, elle m'inquiète vraiment ».
Ou bien, le terme serait découpé en Bur (bure), qui signifie la laine rêche. Et laud (l'eau) ; ce qui donne le sens d'une laine mouillée qui expliquerait la qualification donnée par l'auteur : « elle sent le Para poux »
Yasmina : la mère de Doria. Son nom désigne en arabe "la fleur du jasmin". Symbole de la beauté et de l’espoir. Yasmina est une femme courageuse qui a affronté son illettrisme. On lit à la page 116 : « Elle commence à lire quelques mots et elle est très fière d'écrire son prénom sans se tromper (...) Elle est active et libre maintenant alors qu'avant c'était loin d'être le cas. ».
dimanche 9 août 2009
"Kiffe kiffe demain" de Faiza Guène 1
"Kiffe kiffe demain", le premier roman de Faiza Guéne, paru aux éditions European Schoolbooks en septembre 2005, dans la collection Livres de poche, en 188 pages. Traduit en vingt-deux langues et vendu à 200 000 exemplaires.
"Kiffe kiffe demain" raconte les chroniques d'une beurette. Doria est une jeune adolescente de quinze ans, elle habite dans une cité de Livry-Gargan dans la banlieue parisienne. Son père les a quittées elle et sa mère Yasmina pour retourner au Maroc, et se remarier avec une femme plus jeune et plus féconde, afin d'avoir un garçon pour honorer son nom de famille.
Elles mènent toutes les deux un combat quotidien où elles essayent de s'en sortir et d'avoir une vie meilleure. Depuis le départ de son père, Doria s'est renfermée sur elle, alors le directeur de son lycée a pris la décision de l'envoyer chez une psychologue, Mme Burlaud, avec qui, Doria va suivre une thérapie pour l'aider à aller mieux. Doria nous révèle : « Y a que deux personnes à qui je peux parler pour de vrai. Mme Burlaud et Hamoudi. »P22
Quant aux assistantes sociales, "Mme dutruc" "M .dumachin" et "la nouvelle" Doria les détestait tous : « Ce qui me pose problème c'est qu'avec elle, j'ai l'impression que Maman et moi on est des vulgaires numéros de dossier ». P113
Auprès de son ami Hamoudi, Doria mène cette pénible existence des quartiers, où ils n’apprécient guère y vivre. Doria et sa mère allaient souvent chez "tante Zohra", une femme algérienne de l'ouest, de la région de Tlemcen. Elle avait trois fils; Réda, Hamza et Youssef avec lesquels Doria avait passé toute son enfance. Il y avait aussi Nabil, le fils de Nacéra la voisine qui leurs faisait parfois de la charité, mais qui n'hésitait pas à se vanter auprès d'eux, propose d’aider Doria, qui n'avait pas réussie ses examens, et le trimestre s'est très mal achevé pour elle, pour améliorer ses résultats.
Elles mènent toutes les deux un combat quotidien où elles essayent de s'en sortir et d'avoir une vie meilleure. Depuis le départ de son père, Doria s'est renfermée sur elle, alors le directeur de son lycée a pris la décision de l'envoyer chez une psychologue, Mme Burlaud, avec qui, Doria va suivre une thérapie pour l'aider à aller mieux. Doria nous révèle : « Y a que deux personnes à qui je peux parler pour de vrai. Mme Burlaud et Hamoudi. »P22
Quant aux assistantes sociales, "Mme dutruc" "M .dumachin" et "la nouvelle" Doria les détestait tous : « Ce qui me pose problème c'est qu'avec elle, j'ai l'impression que Maman et moi on est des vulgaires numéros de dossier ». P113
Auprès de son ami Hamoudi, Doria mène cette pénible existence des quartiers, où ils n’apprécient guère y vivre. Doria et sa mère allaient souvent chez "tante Zohra", une femme algérienne de l'ouest, de la région de Tlemcen. Elle avait trois fils; Réda, Hamza et Youssef avec lesquels Doria avait passé toute son enfance. Il y avait aussi Nabil, le fils de Nacéra la voisine qui leurs faisait parfois de la charité, mais qui n'hésitait pas à se vanter auprès d'eux, propose d’aider Doria, qui n'avait pas réussie ses examens, et le trimestre s'est très mal achevé pour elle, pour améliorer ses résultats.
Un jour, en allant payer le loyer à la place de sa mère, la femme du gardien lui parle d'une nouvelle locataire qui cherchait une baby-sitter pour sa fille. Elle s'appelait Lila et sa fille Sarah. Doria accepte tout de suite de travailler chez elle pour trois euros à l'heure. Yasmina, la mère de Doria quant à elle, l'assistante sociale l'a inscrite pour une formation d'alphabétisation. Elle lui a trouvé un travail dans la cantine de l'école, où elle doit servir à manger aux petits.
Un soir, Nabil qui continuait de voir Doria pour l'aider à faire ses devoirs, et après avoir discuter tous les deux un bon moment, il embrassa Doria avant de partir. Ce qui va complètement changer leur relation.
De retour après avoir passé ses vacances, Nabil n’adresserait plus la parole à Doria ; ce qui lui a le plus contrarié. Elle ne comprenait pas son attitude. Mais après quelque temps il prit son courage et alla vers elle, et ils se sont réconciliés. En ce temps, Hamoudi avait réussi à trouver du travail, et décida de se marier avec Lila. Il décide de bâtir une nouvelle vie. Doria a finalement quitté l'école. Elle suit une formation en Cap coiffure, en attendant de trouver quelque chose qu'elle aimerait faire pour de vrai.
Un soir, Nabil qui continuait de voir Doria pour l'aider à faire ses devoirs, et après avoir discuter tous les deux un bon moment, il embrassa Doria avant de partir. Ce qui va complètement changer leur relation.
De retour après avoir passé ses vacances, Nabil n’adresserait plus la parole à Doria ; ce qui lui a le plus contrarié. Elle ne comprenait pas son attitude. Mais après quelque temps il prit son courage et alla vers elle, et ils se sont réconciliés. En ce temps, Hamoudi avait réussi à trouver du travail, et décida de se marier avec Lila. Il décide de bâtir une nouvelle vie. Doria a finalement quitté l'école. Elle suit une formation en Cap coiffure, en attendant de trouver quelque chose qu'elle aimerait faire pour de vrai.
samedi 8 août 2009
"Les Amants de Padovani" Youcef Dris
"Les Amants de Padovani", roman de Youcef Dris, publié aux éditions Dalimen, à Alger en 2004. Il retrace une histoire d’amour dans un cadre historique particulier. Une idylle aura lieu à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
Un roman émouvant et déchirant, qui, interpelle ses lecteurs au détour d’une petite venelle du quartier de Belcourt et de la rue d’Isly. Il leur rappelle à l’ordre pour méditer sur l’amour idyllique de Dahmane et d’Amélie. Un amour fou, envahissant et qui finira par s’imposer dans une Algérie stigmatisée par un siècle de colonisation.
A la mort de son père, Dahmane quitte son village de Kabylie avec sa mère et sa grand-mère Fatma, pour Alger. Ce fut un tournant décisif dans sa vie car il va alors vivre des moments inoubliables auprès d’Amélie.
M. Démontes, acculé par sa fille Amélie, inscrira Dédé (Dahmane) à l’école maternelle, primaire puis secondaire en compagnie d’Amélie. Ils décrochent tous les deux leurs baccalauréat ensemble. Ce fut un apprentissage des us et coutumes de l’Autre auprès de la famille de maitre Démontes.
Passant les vacances à St-Raphael puis à Aix-en-Provence, chez les grands parents d’Amélie. Où fut l’éclatement au grand jour de l’amour entre Dahmane et Amélie. Mais de retour à Alger, les sorties de Dédé et d’Amélie à la plage Padovani font déjà jaser les pieds-noirs. Les conséquences seront trop lourdes, après quinze ans de travail loyal, la grand-mère de Dédé serai impitoyablement chassée de son poste de servante par M. Démontes, Dahmane injustement accusé de meurtre, serai jeté en prison, Amélie, enceinte, mourra en son exil forcé en donnant naissance à un garçon.
Amants de Padovani est une focalisation sur le particulier au détriment du global. Où tous les personnages qui étaient à cheval sur deux époques, deux cultures vont disparaître. Le docteur Lemoigne (fils de Dédé et d’Amélie) sera le seul survivant de cette tragédie, mais bien sur, il ne reconnaitra jamais la paternité de Dahmane.
Un roman émouvant et déchirant, qui, interpelle ses lecteurs au détour d’une petite venelle du quartier de Belcourt et de la rue d’Isly. Il leur rappelle à l’ordre pour méditer sur l’amour idyllique de Dahmane et d’Amélie. Un amour fou, envahissant et qui finira par s’imposer dans une Algérie stigmatisée par un siècle de colonisation.
A la mort de son père, Dahmane quitte son village de Kabylie avec sa mère et sa grand-mère Fatma, pour Alger. Ce fut un tournant décisif dans sa vie car il va alors vivre des moments inoubliables auprès d’Amélie.
M. Démontes, acculé par sa fille Amélie, inscrira Dédé (Dahmane) à l’école maternelle, primaire puis secondaire en compagnie d’Amélie. Ils décrochent tous les deux leurs baccalauréat ensemble. Ce fut un apprentissage des us et coutumes de l’Autre auprès de la famille de maitre Démontes.
Passant les vacances à St-Raphael puis à Aix-en-Provence, chez les grands parents d’Amélie. Où fut l’éclatement au grand jour de l’amour entre Dahmane et Amélie. Mais de retour à Alger, les sorties de Dédé et d’Amélie à la plage Padovani font déjà jaser les pieds-noirs. Les conséquences seront trop lourdes, après quinze ans de travail loyal, la grand-mère de Dédé serai impitoyablement chassée de son poste de servante par M. Démontes, Dahmane injustement accusé de meurtre, serai jeté en prison, Amélie, enceinte, mourra en son exil forcé en donnant naissance à un garçon.
Amants de Padovani est une focalisation sur le particulier au détriment du global. Où tous les personnages qui étaient à cheval sur deux époques, deux cultures vont disparaître. Le docteur Lemoigne (fils de Dédé et d’Amélie) sera le seul survivant de cette tragédie, mais bien sur, il ne reconnaitra jamais la paternité de Dahmane.
jeudi 6 août 2009
Sais-tu??
Quelle tristesse !
Celle qui s'abat sur mon cœur !
Uniquement meurtri par ton absence,
Et malgré la distance, t’es éternellement gravé dans ma mémoire
Lentement mais sûrement devenue la tienne.
Le temps viendra, où sans ambages, tu m'apparaîtras
Essentiellement souriant et radieux, sous ton plus bel apparat.
La vie loin de toi très cher m’est tant douloureuse,
Rien que pour te dire que tu es indiciblement valeureux.
Sous peine de voir mes espérances devenir vaines.
Tu es à l'autre bout de mon cœur, à milles lieux de moi,
Et pourtant tu es toujours mon trésor, mon seul choix.
Sans successeur, ce temps est inimaginable,
Ton sillage m'est ineffaçable
En regard de ton élan doux et de ton humeur magnanime.
Partout où je me trouve,
Tu es présent dans mon esprit,
Et toutes les choses que j'éprouve,
Ne sont que pour toi mon chéri.
Tu es ma joie de vivre,
Mon seul et unique bonheur,
Mon amour pour toi est éternel,
Je t'aimerai toujours,
Tu es mon trésor,
Ton amour est précieux comme l'or
Celle qui s'abat sur mon cœur !
Uniquement meurtri par ton absence,
Et malgré la distance, t’es éternellement gravé dans ma mémoire
Lentement mais sûrement devenue la tienne.
Le temps viendra, où sans ambages, tu m'apparaîtras
Essentiellement souriant et radieux, sous ton plus bel apparat.
La vie loin de toi très cher m’est tant douloureuse,
Rien que pour te dire que tu es indiciblement valeureux.
Sous peine de voir mes espérances devenir vaines.
Tu es à l'autre bout de mon cœur, à milles lieux de moi,
Et pourtant tu es toujours mon trésor, mon seul choix.
Sans successeur, ce temps est inimaginable,
Ton sillage m'est ineffaçable
En regard de ton élan doux et de ton humeur magnanime.
Partout où je me trouve,
Tu es présent dans mon esprit,
Et toutes les choses que j'éprouve,
Ne sont que pour toi mon chéri.
Tu es ma joie de vivre,
Mon seul et unique bonheur,
Mon amour pour toi est éternel,
Je t'aimerai toujours,
Tu es mon trésor,
Ton amour est précieux comme l'or
mercredi 5 août 2009
La Saga fascination ou Twilight 2
Tentation, le tome 2 de la Saga Fascination de Stéphanie Meyer, traduit en français par Luc Rigoureau. En forme de broché, il comporte 570 pages. Publié aux éditions Hachette Jeunesse en 2006, dans la collection Black Moon.
Cette deuxième partie commence par le bouleversement d'un équilibre bien précaire, comme si ce lion qui cherchait à protéger la belle brebis contre ses propres instincts échouait inévitablement !
Nous allons haïr Edward, le bel homme qu’on avait tant adoré, pour la peine qu'il inflige à Bella. Edward est parti, Bella s'effondre et tombe dans la dépression. Elle trouve refuge et réconfort auprès de Jacob Black, un ami de la famille, l'idéal boy-next-door. Avec lui, elle brave tous les dangers, éblouie d'avoir des hallucinations auditives - la voix d'Edward - en réaction. Mais le temps se gâte à Forks et Bella découvre le secret de Jacob.
Le regret le plus intense que l'on peut nourrir face à ce livre est l'absence d'Edward pendant de trop longues pages. Cette absence permet la mise en avant d'un autre personnage, Jacob, qui prend beaucoup d'importance dans l'histoire, et qu'on apprend à aimer à travers les pensées de Bella ...On vit avec Bella, on ressent ce qu'elle ressent, "Tentation" est décidément très déprimant, morose, mais aussi émouvant ... cette longue attente de son bien aimé en vaut bien la peine, on se réjouit très vite d'avoir été patient, d'avoir tourné les pages en espérant le voir revenir, et son retour est tout sauf décevant !!
Nous allons haïr Edward, le bel homme qu’on avait tant adoré, pour la peine qu'il inflige à Bella. Edward est parti, Bella s'effondre et tombe dans la dépression. Elle trouve refuge et réconfort auprès de Jacob Black, un ami de la famille, l'idéal boy-next-door. Avec lui, elle brave tous les dangers, éblouie d'avoir des hallucinations auditives - la voix d'Edward - en réaction. Mais le temps se gâte à Forks et Bella découvre le secret de Jacob.
Le regret le plus intense que l'on peut nourrir face à ce livre est l'absence d'Edward pendant de trop longues pages. Cette absence permet la mise en avant d'un autre personnage, Jacob, qui prend beaucoup d'importance dans l'histoire, et qu'on apprend à aimer à travers les pensées de Bella ...On vit avec Bella, on ressent ce qu'elle ressent, "Tentation" est décidément très déprimant, morose, mais aussi émouvant ... cette longue attente de son bien aimé en vaut bien la peine, on se réjouit très vite d'avoir été patient, d'avoir tourné les pages en espérant le voir revenir, et son retour est tout sauf décevant !!
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