jeudi 11 février 2010

Et autant emporte le vent

Comme un damné sur une terre d’exil ...
Comme un oiseau touché en plein cœur qui sent sa fin …
Comme un papillon.. Qui tourne au rond …
Au tour d’une flamme et qui s’enflamme
On croyant l’embrasser ...
Citoyen de nul part et orphelin de l’histoire, je ne me reconnais plus comme avant
Mes amis se font cher ; entre des gens mi-humains mi-robots, le cœur gelé et le bras qui
Hésite à se tendre........
C’est le portrait d’un monde égoïste et cruel où les bénéfices étranglent les sacrifices...

On se croient forts et intouchables… pendant que le meilleur nous échappe
On croit croquer la vie... sans vraiment toucher son fond ; l’amour et l’amitié..
On a toujours tort, mais on s’en fou. .............. La raison de ma détresse..

Quand je saigne, je prends des recules, je m’isole, c’est plus fort que moi, car
Vaut mieux souffrir en silence que de chercher la pitié des autre ...
............pendant que le monde bouge, ..me voilà à l’intérieur de ma boule de cristal
J’essaye de remonter le temps pour survivre........................................... peut être

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