dimanche 21 février 2010

Mon monde, Fethallah Boumediene

Fethallah Boumediene, un cher ami, un jeune talent, un bourgeon d'or.
Qui a magnifiquement écrit ce poème à pouvoir magique.
Accorde-moi cet honneur de le publier sur mon modeste blog.


Ne vous ai-je pas dit que je viens d’un monde ?
Fou, plein de fous et de folles.
Je n’ai nullement la prétention de nier cette ronde
Où l’inconscient et le conscient, ne font qu’un vase qui se viole
Si on le casse, et là, tout s’inonde
En un tsunami qui rigole
S’immergeant sur une zone d’onde
Sablé et pleine de vol
Quand elle sourit, c’est seulement un bonjour pour ceux qui transcendent
Cette vie, pour le rôle
Des défunts, qui se vendent
Dans le marché des tombes au format d’un petit goal
Quand elle pleure, c’est une création céleste qui n’est guère seconde
Parfois, elle a sommeil, quand deux êtres se connaissent sur le sol
En s’éveillant, elle crée un divorce entre SAM et Ode
Si jamais elle est trop guai, en un seul vol
Elle amasse plein de monde
Destination, là haut dans un hall
Sur une balance qui ne fait pas de solde
Lorsqu’elle devient soule, c’est une folie familiale sur l’héritage d’un mèjhoule
Puis, dès qu’elle veut se rassasier, elle imite la tornade
L’espace, c’est le stade de Barcelone avec sa houle
En faisant de tout le monde
Un ballon rond devant ses pieds, qui roule
Son salut, c’est la guerre froide
Son poigné de main, c’est celle d’Irak, de Gaza et de Kaboul
De temps à autres, elle embrasse toutes les poches pleines de pièces rondes
Créant ainsi, une crise monétaire folle.

3 commentaires:

RODOLPHE SALIS a dit…

Oui!...l'important...c'est la poesie!!!

Salut!

sireine a dit…

SLT,

merci Rodolphe

bienvenu sur ma planète, amicalement,

aicha.

Bourgeon d'or a dit…

Salut chère amie, c'était avec plaisir le fait de publier mon poème, chose qui me donne un coup de pousse pour écrire d'autres... Mon respect le plus distingué à tout l'effort que tu dépenses en faveur de la vie puissance mille je veux dire la littérature.